La liberté de la presse reste un sujet à caution dans plusieurs Etats. Les journalistes travaillent parfois au risque de leur vie pour le seul but d’informer.
Par Guy Ngoye
Jermal Khashoggi, journaliste saoudien, ancien conseiller en communication de l’un des princes du roi saoudien a été assassiné dans l’enceinte du consulat saoudien en Turquie la semaine dernière par un commando dont le chef de fil était l’ancien garde du prince héritier Mohamed Ben Salman. Ce dernier est soupçonné comme étant le commanditaire de ce meurtre.
Cependant le président Turque, pays dans lequel ce crime à été commis est monté au créneau hier, Tayyip Herdogan a vivement condamné cet assassinat est l’a qualifié de meurtre sauvage. Il a par ailleurs insisté que cette opération à été surement planifié par les hautes autorités saoudienne, sans bien entendu citer le commanditaire.
Les 18 suspects arrêtés seront jugés en Turquie pour établir les responsabilités a-t-il souligné. Rappelons que la Turquie a des divergences avec le royaume saoudien à propos du Qatar, l’occasion peut être favorable pour R.T. Herdogan à convaincre les Saoudiens par rapport à ce dossier du Qatar. Entre temps plusieurs pays qui défendent les libertés fondamentales commencent à avoir un peu du recul dans leurs relations diplomatiques avec Riyad notamment, le royaume uni et le Canada .Qu’à cela ne tienne la conférence des investisseurs étrangers s’est tenu avec succès dans le royaume.